Bonjour,
Atteinte de RCH (rectocolite hémorragique) depuis 18 ans et opérée avec succès il y a 10 ans (colectomie totale avec rétablissement de continuité), j’ai commencé un régime hypotoxique depuis 3 ans et ne regrette qu’une chose: Ne pas l’avoir découvert plus tôt! La chirurgie m’a sauvée, certes, mais je suis convaincue qu’un régime hypotoxique pris à temps m’aurait peut-être évité ces 8 ans de cortisone et d’immunosuppresseurs à doses de cheval.
Depuis que je suis ce régime, les petites hémorragies qui continuaient à une moindre échelle ont totalement cessé, et les carences en fer massives qui me valaient des séances hebdomadaires de perfusions de fer ont totalement disparu de mes analyses de sang. Mes migraines ont considérablement diminué, en particulier grâce à l’action des huiles de poisson (pas d’oubli possible!), et grâce aussi à une désintoxication aux métaux lourds par chélation.
J’aurai la joie de devenir maman au mois de juin prochain, et sachant le risque (aussi minime soit-il) de transmettre ma maladie auto-immune et mes allergies alimentaires à mon enfant, j’aimerais savoir si, dans le cas où l’allaitement au sein s’avérait impossible, je dois le nourrir avec du lait végétal maternisé dès la naissance pour éviter les transmission d’allergies, ou si je dois prendre le risque de le confronter au lait de vache maternisé. Un médecin adepte du régime Seignalet m’avait il y a quelques années conseillé si j’avais un enfant, de le nourrir sans gluten et sans caséine les 3 premières années et de tenter une introduction progressive des aliments à risque ensuite. Qu’en pensez-vous?
Réponse de Jacqueline: Comme vous habitez en France, l’article suivant (taper nouveaux-nés dans recherche articles ou dérouler « Sujets d’intérêts » devrait vous aider à prendre une décision éclairée:
Vaincre la douleur par l'alimentation 