Très intéressant. Ma mère, maintenant décédée, souffrait d’hydradénite suppurée, mon frère en souffre, ainsi que le fils de ma soeur. Comme j’ai deux gènes pour la maladie coeliaque, un venant de ma mère et un autre de mon père, il y a plus de risques que d’autres personnes soient coeliaques dans ma famille. Mais aucun d’entre eux n’est intéressé à changer son alimentation, car les « bobos » dont ils souffrent ne sont pas assez gros, même s’ils les incommodent.
Il est également tellement regrettable que les tests traditionnels pour la maladie coeliaque ne sont pas fiables lorsque le système immunitaire est défaillant, ce qui est souvent le cas lorsque le gluten a fait des dommages pendant des années. Les patients et médecins ne savent pas que les tests ne sont pas fiables et un résultat négatif peut laisser croire qu’il ne faut pas considérer cette piste. Cela, sans compter le fait que la sensibilité au gluten sans maladie coeliaque a souvent les mêmes effets que la MC.
Il peut sembler plus facile de prendre des pilules ou subir une intervention, que changer son alimentation. Du moins parce qu’on pense que c’est davantage exigeant que cela l’est en réalité. .
Les gens qui ont le courage, la volonté et la persévérance de changer leur diète sont habituellement très souffrants depuis des années. Puisque la façon de s’alimenter entraîne des engrammes puissants dont il est difficile de se défaire, je crois que malheureusement, il faut être très malade pour accepter de faire des efforts pour ensuite aller mieux, en mangeant hypotoxique..
Dans notre culture occidentale, on pense que la façon de régler des problèmes de santé est de prendre des médicaments, ou encore subir des interventions chirurgicales et les médecins pensent ainsi car leur formation les a ainsi « formatés ». Difficile de mettre de côté toutes ces années d’études où on vous a enseigné à diagnostiquer des maladies et à prescrire les médicaments pour en atténuer les symptômes, plutôt que chercher les causes pour agir sur celles-ci. Espérons que les plus jeunes médecins auront plus de clairvoyance et que les nombreux témoignages auprès d’eux, de personnes qui suivent vos conseils, Dr Lagacé, finiront par leur ouvrir les yeux.
Lucie
Ayant souffert de dermatite herpétiforme durant 29 ans, et ayant découvert ceci à la suite de la lecture de votre livre, je suis maintenant l’heureuse personne dont la peau ne souffre plus. Depuis 2 ans, fini le gluten, et ce, pour toujours!!! Les dermatos m’ont diagnostiqué eczéma et dermatite atomique et psoriasis, toujours traité avec des crèmes à la cortisone. Ça m’a pris 29 ans de recherches alimentaires et autres pour, enfin, découvrir la vraie cause. MERCI de tout coeur pour vos recherches. Il faut souffrir assez pour enfin changer quelque chose. Merci encore.
Il n’y a rien a ajouté je pense également la même chose. Les personnes qui ont des problèmes préfèrent prendre un médicament plutôt que de changer leurs alimentations. Pour ma part je me dit *peut-être à tort* qu’ils n’ont pas assez souffert. Pour ma part la seule chose qui me soulage c’est le sans gluten et sans lactose, mangé le plus possible en IG Bas, arrêté le sucre et l’alcool et ma dernière découverte c’est les céréales. Je les ai beaucoup diminuees. Bon courage à toutes les personnes concernées
oh comme je suis d’accord avec Lucie! Mais les médecins ne sont pas les seuls à incriminer, L’industrie alimentaire qui prèche pour la consommation du lait, du fromage, des préparations industrielles (qui » aident les femmes qui travaillent »), les sucres et les graisses plus ou moins cachés, tout cela nous est présenté comme sain et pratique, il faut beaucoup de persévérance pour modifier des habitudes de consommation inculquées depuis l’enfance.
Les jeunes médecins sont souvent prisonniers de ce système, ayant eux-mêmes grandi avec lui.
c’est aux consommateurs que nous sommes de faire connaître le bienfait d’une alimentation différente.
Cathy
Très bien décrit. Je fais partie de cette génération qui doute et je ne peux m’enpêcher de succomber au gluten et produits laitiers (surtout les fromages) parce qu’ils me manquent et …je succombe …et …je paie la note.
J’enregiste bien ce témoignage en espérant de le mettre en avant plan.
Merci à Vous
Gilberte Gélinas
Ne vous découragez pas, le désir de manger les aliments qui goûtent bon mais qui nous rendent moche diminue avec le temps. Et le choix occasionnel de manger des aliments hors régime se fait éventuellement en acceptant et en comprenant les symptomes qui risquent de suivre.