J’ai bien lu l’article .C’est intéressant! Mais, je pensais qu’elle allait ouvrir au sujet des médecines alternatives. comme en Suisse. Elle devrait donner une place à la prévention. Exemple ; se servir d’huiles essentielles pour améliorer l’immunité, prévenir un rhume et améliorer sa santé.Bien de remèdes de Grand’mère pourraient être utilisé pour soigner des petits bobos.
Malheureusement le milieu médical québécois est très conservateur et c’est en particulier le corporatisme excessif de la profession médicale qui constitue un véritable frein à l’amélioration de notre système de santé public vers la mise en place de la santé intégrative au Québec. L’influence négative de ce corporatisme médical était déjà décrié dans un article publié en 2003 dans la revue: Ethique Publique(vol. 5, no 1, 2003) dont je publie ici un résumé: Éthique et allocation des ressources en santé;
Réflexion sur l’héritage corporatiste de la profession médicale
Résumé
« Quelles sont les causes de la crise actuelle du système de santé au Québec ? Peut-on simplement les réduire à la pénurie des ressources humaines, matérielles ou financières ? Ou existerait-il d’autres causes peut-être plus pernicieuses ? Par le biais d’une analyse systémique, on peut identifier quatre niveaux de mutations pouvant affecter l’organisation du système de santé soit 1) au niveau de la conception de sa mission au sein de la société, 2) au niveau de l’équilibre des pouvoirs entre les divers acteurs, 3) au niveau des structures internes et enfin 4) au niveau de l’évolution des ressources technologiques. Mais c’est en regard de l’organigramme du pouvoir que l’on peut constater un déséquilibre pouvant entraîner une érosion générale du système de santé. En effet, les conséquences sociales du pouvoir disproportionné de la corporation médicale doivent être mieux connues, d’autant plus que ce déséquilibre semble injustifié et démesuré en comparaison des autres corps professionnels qui, tout aussi garants de la protection de biens publics fondamentaux, ne promeuvent pas leurs intérêts corporatistes au détriment des enjeux sociaux plus globaux et du bien commun. »
J’ai bien lu l’article .C’est intéressant! Mais, je pensais qu’elle allait ouvrir au sujet des médecines alternatives. comme en Suisse. Elle devrait donner une place à la prévention. Exemple ; se servir d’huiles essentielles pour améliorer l’immunité, prévenir un rhume et améliorer sa santé.Bien de remèdes de Grand’mère pourraient être utilisé pour soigner des petits bobos.
Malheureusement le milieu médical québécois est très conservateur et c’est en particulier le corporatisme excessif de la profession médicale qui constitue un véritable frein à l’amélioration de notre système de santé public vers la mise en place de la santé intégrative au Québec. L’influence négative de ce corporatisme médical était déjà décrié dans un article publié en 2003 dans la revue: Ethique Publique(vol. 5, no 1, 2003) dont je publie ici un résumé: Éthique et allocation des ressources en santé;
Réflexion sur l’héritage corporatiste de la profession médicale
Résumé
« Quelles sont les causes de la crise actuelle du système de santé au Québec ? Peut-on simplement les réduire à la pénurie des ressources humaines, matérielles ou financières ? Ou existerait-il d’autres causes peut-être plus pernicieuses ? Par le biais d’une analyse systémique, on peut identifier quatre niveaux de mutations pouvant affecter l’organisation du système de santé soit 1) au niveau de la conception de sa mission au sein de la société, 2) au niveau de l’équilibre des pouvoirs entre les divers acteurs, 3) au niveau des structures internes et enfin 4) au niveau de l’évolution des ressources technologiques. Mais c’est en regard de l’organigramme du pouvoir que l’on peut constater un déséquilibre pouvant entraîner une érosion générale du système de santé. En effet, les conséquences sociales du pouvoir disproportionné de la corporation médicale doivent être mieux connues, d’autant plus que ce déséquilibre semble injustifié et démesuré en comparaison des autres corps professionnels qui, tout aussi garants de la protection de biens publics fondamentaux, ne promeuvent pas leurs intérêts corporatistes au détriment des enjeux sociaux plus globaux et du bien commun. »