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Olivier recommande la lecture d’un livre sur les vaccins du nourrisson

Bonsoir, sur le sujet des vaccins, les ouvrages les plus scientifiques sont à mon avis ceux du Dr de Lorgeril. Ce sont les livres d’une série en cours « les vaccins du nourrisson », avec des analyses de toutes les données disponibles. Un des constats qui est frappant, c’est l’extrême rareté et fragilité des données scientifiques derrière plusieurs de ces vaccins. Plusieurs notions sont abordées comme le remplacement constaté des sérotypes, par exemple suite à des vaccins contre les méningites. Bref je les conseille vivement.

Réponse de Jacqueline: Oui, les vaccins sont indispensables car ils constituent le meilleur moyen de prévention contre la plupart des maladies contagieuses.  Les modes de production et d’applications des vaccins sont-ils parfaits? Non,  il y a une large place à amélioration et le fait de taire certains problèmes concernant les vaccins a comme conséquence que les compagnies pharmaceutiques qui les produisent n’investissent pas les efforts  et l’argent nécessaires à leur amélioration puissent que le silence ou l’ignorance de nos Institutions les confortent dans leur laisser faire.

Je recommande les livres du Dr Michel de Lorgeril car ce dernier tout en dénonçant les mauvaises pratiques médicales fait montre d’un esprit scientifique ouvert ainsi que de prudence et tente de faire la part des choses entre le positif et le négatif en s’appuyant sur des données scientifiques.

Pour plus d’informations: https://michel.delorgeril.info/ethique-et-transparence/analyse-scientifique-de-la-toxicite-des-vaccins/

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Suzy me demande que penser des vaccins?

Suzie demande que penser des vaccins ? Jusqu’où faire confiance sachant qu’on est souvent en otage, qu’on est désinformés sur d’autres enjeux de santé?

Réponse de Jacqueline : Vous me posez une question à laquelle il n’est pas simple de répondre pour trois   raisons principales :

1) les vaccins constituent le meilleur mode de prévention contre la plupart  des maladies transmissibles et ont sauvé et continuent de sauver des millions de vies;  même imparfaits, ils sont indispensables.

2) les vaccins ne sont pas parfaits et peuvent induire des effets néfastes chez un petit pourcentage d’individus en raison de différentes  caractéristiques individuelles qui peuvent être d’ordre génétique ou non;

3) L’attitude de différents groupes face aux vaccins est  très polarisée :  3.1) d’une part certains individus ne reconnaissent pas que la vaccination, même contre des maladies mortelles est un outil indispensable de prévention dans nos sociétés; 3.2) d’autre part, le monde médical est généralement très pro-vaccination pour tous, sans distinction et sans vouloir reconnaître les problèmes réels auxquels il faudrait s’attaquer pour mieux sécuriser les modes de préparation des vaccins.   Cette façon de faire préoccupe de nombreux chercheurs,  qui comme  le professeur neurologue Gherardi, font le constat que : « Dans le monde médical, le vaccin représente un véritable totem que l’on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en objet d’étude scientifique comme les autres, considérer qu’il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ?  Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques ».

Existent-ils des solutions pouvant concilier ces antagonistes?

  • Il faut savoir que ce sont des approches empiriques (bases théoriques limitées) qui ont inspiré le développement des vaccins y compris l’emploi d’adjuvants communs tels l’aluminium et le thimérosal (éthyl-mercure) dont l’utilisation remonte  aux années 1926;  les adjuvants sont importants car ils amplifient les réponses immunitaires vis-à-vis les antigènes vaccinaux.
  • Outre le mode de préparation des antigènes vaccinaux (ag vaccinaux vivants présentant différents degrés d’atténuations, inactivés, parcellaires, liposomaux, vaccins à ADN, vaccins à ARN, etc), une partie importante des effets secondaires causés par les vaccins est due aux adjuvants. Pour s’attaquer aux problèmes des effets secondaires dus aux vaccins-adjuvants,  des recherches cliniques avancées devraient être effectuées afin d’apporter des informations rationnelles nouvelles susceptibles de développer de meilleurs vaccins tant aux points de vues de la préparation des antigènes microbiens que du développement de nouveaux adjuvants vaccinaux mieux adaptés aux humains; cela est maintenant possible grâce aux nouvelles technologies basées sur la génomique (transcriptomique, protéomique, miRNomique, métabolomique) tel que proposé par l’article du chercheur Ali M. Harandi, un spécialiste des adjuvants vaccinaux. « Systems analysis of human vaccine adjuvants » https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30122362.
  • Pour que ce genre de recherche se concrétise,  il serait important que le monde médical reconnaisse que les vaccins sont loin d’être parfaits et qu’ils doivent être améliorés et cela est d’autant plus important que la population est de plus en plus consciente des enjeux qui entourent la problématique des vaccins-adjuvants.  Le laisser faire et la négation de l’importance des effets secondaires des vaccins-adjuvants ne sont plus soutenables puisque la science possède maintenant les techniques aptes à rendre plus efficaces et sécuritaires les vaccins.  C’est seulement lorsque  la population l’exigera que nos gouvernements vont faire montre de leadership dans ce domaine et feront le nécessaire pour obliger les compagnies pharmaceutiques à dépenser les sommes nécessaires à l’amélioration de la qualité des vaccins. La réalité actuelle, c’est que les compagnies pharmaceutiques font fortune  en conservant leurs vieux procédés plutôt que d’investir les sommes nécessaires dans une recherche de pointe axée sur les nouvelles technologies qui ont le potentiel de  créer des vaccins plus efficaces et véritablement sécuritaires pour l’ensemble des humains.
  • Si les compagnies pharmaceutiques, dont le but premier est uniquement monétaire, ne modifient pas leurs pratiques désuètes pour produire des vaccins plus efficaces et sécuritaires, c’est qu’elles ne ressentent aucune pression de la part du milieu médical et des gouvernants pour le faire. Pourtant, investir dans la production de vaccins de meilleure qualité est loin d’être futile;  cela  permettrait de mieux protéger les populations et de réduire de façon drastique les effets délétères des vaccins pour les plus sensibles d’entre nous; éviter, autant que faire se peut, de gâcher la vie de milliers d’enfants, d’adolescents et d’adultes, sans oublier les conséquences graves qui en découlent pour les familles, est simplement faire montre de réalisme, d’humanité et de justice sociale.   Alors que les progrès scientifiques permettent maintenant des avancées spectaculaires dans tous les domaines, pourquoi acceptons-nous encore que la vaccination, qui est d’une importance cruciale pour la protection de la santé de nos sociétés, repose encore sur des méthodes empiriques désuètes; il existe actuellement, tel que cité précédemment, des outils capables d’améliorer de façon importante l’efficacité et la sécurité des  vaccins-adjuvants.   Ce n’est pas en continuant de nier les faiblesses de nos vaccins désuets qui n’ont pas suivi les avancées scientifiques et en réfutant les nombreux témoignages des victimes de ce laisser-faire, que les choses vont s’améliorer et que les Autorités vont convaincre l’ensemble des parents de faire vacciner leurs enfants.

Jacqueline Lagacé, Ph.D.

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