Bonjour Mme Lagacé,
Je ne sais pas si la question vous a déjà été demandée; j’ai cherché un peu sur le site mais sans succès. Se peut-il que l’arrêt de la prise d’hormones bio-identiques que j’ai pris pendant environ 6 à 7 ans, ait un lien direct avec des douleurs assez intenses (diagnostic d’arthrose) que j’ai en ce moment au niveau des mains, des épaules, du cou, des genoux? Se peut-il que la prise d’hormones ait retardé mes problèmes d’arthrose? J’ai fait l’arrêt de façon très progressive (de février à juillet). J’avais bien auparavant certaines sensibilités aux mains et aux genoux mais la douleur a vraiment augmenté depuis quelques mois. De plus, j’essaie de suivre depuis plusieurs mois l’approche hypotoxique, bien que je ne sois pas toujours très rigoureuse.
J’ai passé plusieurs radiographies pour les mains, genoux, épaule, maxillaire inférieur et les diagnostics révélaient la plupart du temps, une présence discrète d’arthrose. J’ai également fait des prélèvements sanguins pour vérifier la présence de maladies inflammatoires telles l’arthrite rhumatoïde, lesquels se sont avérés négatifs. Je m’interroge donc sur l’écart entre les résultats sur papier et mes douleurs physiques qui, elles sont très intenses.
J’imagine que si je suis la diète hypotonique de façon plus stricte, je pourrai observer des améliorations à ma situation. Qu’en pensez-vous?
Merci beaucoup!
Line
Réponse de Jacqueline
Il ne fait pas de doute que la baisse et surtout l’arrêt de la sécrétion des hormones sexuelles (estrogène et progestérone) favorisent généralement le développement de l’arthrose (ostéoarthrite) chez les personnes qui y sont prédisposées. Ceci a été également bien démontré en laboratoire chez les rongeurs. Il n’est pas surprenant que l’arrêt des hormones bio-identiques ait également de telles répercussions chez une personne qui souffrait déjà d’un début d’arthrose qui probablement a été ralenti par la prise d’hormones bio-identiques. Avez-vous discuté avec votre médecin de ce problème?
D’autre part, oui il y a de fortes chances que le suivi strict de la diète hypotoxique permette de mettre en rémission vos douleurs arthritiques.
Bonjour Madame Lagacé,
Depuis bientôt 3 mois que j’ai arrêté les produits laitiers. Ayant la maladie coeliaque, le gluten est banni de mon alimentation depuis 17 ans. Je vous ai raconté mon parcours il y a quelques mois (fibromyalgie).Depuis l’arrêt des produits laitiers mes douleurs ont explosées. Mon régime est très rigoureux, je ne mange pas de produits transformés tout est fait maison avec des produits biologiques et pratiquement végétarien ( mon conjoint est végétarien depuis 40 années).
Je souffre énormément mes brûlures sont intenses et les douleurs musculaires (fascias) m’empêchent de fonctionner. Je n’ai pas de douleur articulaire et tous les autres symptômes de la fibromyalgie par contre les douleurs musculaires j’y goûte . Je ne sais pas quoi supprimer de plus de mon alimentation et je n’ai pas de poids à perdre du tout. Si je continue comme ça je serai dans la catégorie anorexique.
Merci encore une fois
Bonjour Sylvie,
Vous dites que depuis l’arrêt des produits laitiers il y a 3 mois, vos douleurs ont explosées; je pense que vous auriez intérêt à consommer à nouveau des produits laitiers pour au moins vérifier s’il y a un lien de cause à effet.
Ce ne serait pas la première fois, selon mon expérience, que la consommation de céréales sans gluten, y compris le riz et les pseudo-céréales, seraient la cause de sensations de brûlure au niveau des muscles. Je pense que cela vaudrait la peine d’essayer d’éliminer complètement toutes les céréales et pseudo-céréales pendant une semaine pour vérifier si mon hypothèse est correcte. Si c’est le cas, il faudrait réintroduire une céréale à la fois pour voir votre degré de tolérance. Toutefois, vous devrez faire un effort pour ne pas perdre de poids. Si vous supportez le fromage, préférez le fromage de chèvre ou de brebis. Consommer des fruits secs biologiques, avocats et fruits vous aidera à éviter les pertes de poids
Bonjour
J’allais, à l’inverses, poser la question du lien possible entre la prise d’hormones et l’arthrose. Pour moi, les douleurs aux pieds ont commencé avec la prise d’hormones. Donc, je me demande si je devrais cesser.
Je reprends donc la réponse apportée à Nadine Lepage à savoir que: « Je ne mets aucunement en doute les bienfaits des hormones synthétiques mais il y a certainement des conditions qui peuvent être contre-indiquées: certains cancers, prédisposition à des embolies pulmonaires, intolérances, et autres ». Si j’étais à votre place, je cesserais la prise d’hormones pendant au moins un certain temps pour bien vérifier leur incidence sur le début de votre arthrose aux pieds.
Bonjour! J’ai lu les livres Hormones au féminin et Le mythe de la vitamine D de la Dre Sylvie Demers. Elle est plus qu’une gynécologue. Après avoir complété son doctorat en médecine à l’Université Laval en 1996 et sa résidence en médecine familiale à l’Université de Sherbrooke en 1998 à l’âge de 41 ans, Dre Sylvie Demers a été médecin de famille avec une pratique très polyvalente (urgence, hospitalisation, psychiatrie, médecine médico-légale, enseignement…). Elle a exercé à Ville-Marie (Témiscamingue) et à Victoriaville et exerce à Gatineau depuis le début de juillet 2004. Elle a également fait une formation complémentaire en psychiatrie et en droit qui lui ont permis de pratiquer la psychiatrie au Centre Hospitalier Pierre-Janet à Gatineau.
Aussi biologiste et chercheure, elle a terminé un doctorat en médecine expérimentale à l’Université Laval en 2003 avec spécialisation en génétique moléculaire humaine. Sa formation est bien axée sur la façon de prescrire efficacement les hormones bioidentiques lors d’une insuffisance ovarienne, lors de la préménopause et lors de la ménopause. Elle donne 1 journée de formation par mois depuis février 2019 et ça se termine en juin 2019. Je ne comprend pas pourquoi les hormones bioidentiques prescrites à dose adéquate suite à un bilan sanguin hormonal et réajustées si nécessaire toujours suite à un bilan sanguin hormonal ne seraient pas bon pour toutes les femmes et ne seraient prescrites qu’aux femmes ménopausées seulement. C’est contraire à ce que j’ai lu des les livres de la Dre Demers. D’ailleurs, elle conseille de débuter dès la préménopause.
Je crois vraiment que les femmes qui arrêtent sont mal conseillées et qu’elles ne sont pas traitées par un médecin spécialisé qui a suivi la formation de la Dre Demers. Il serait bon de vérifier également si elles prennent vraiment les bonnes hormones bioidentiques Estrogel et Prometrium. Depuis que je prends les hormones bioidentiques, depuis ma préménopause, j’ai réglé bien des maux, je pourrais vous en parler longtemps…
Je ne mets aucunement en doute les bienfaits des hormones synthétiques mais il y a certainement des conditions qui peuvent être contre-indiquées: certains cancers, prédisposition à des embolies pulmonaires, intolérances, et autres.
Bonjour! Je me demande vraiment pourquoi les femmes décident d’arrêter la prise d’hormones bioidentiques. Sont-elles mal informées? Moi, j’ai commencé à les prendre (Estrogel et Prometrium) à 49 ans, à ma préménopause; ça fait maintenant 2 ans demie. J’ai choisi de les prendre toute ma vie; jamais je ne les arrêterai, pas question. J’ai un bilan sanguin hormonal régulièrement et ma dose est ajustée si nécessaire. Je connais une femme de 68 ans qui les prend depuis 10 ans, une autre de 73 ans qui les prend depuis 15 ans, une autre qui a 75 ans et qui les prend depuis un peu plus de 20 ans, Nos hormones sexuelles Estradiol 17β et Progestérone ont comme rôle d’assurer notre bien-être et notre santé. En période de préménopause et de ménopause, nos ovaires en fabrique de moins en moins. Les hormones bioidentiques (Estrogel et Prometrium), même si elles proviennent d’un laboratoire, sont des copies exactes de nos propres hormones (grâce à l’explosion de la technologie moléculaire) et nos récepteurs cellulaires les acceptent comme si notre corps lui-même les avaient fabriquées. Lorsque l’on comprend que nos hormones (Estradiol 17β et Progestérone), produites par nos ovaires, ont comme rôle de maintenir notre bien être et notre santé, on comprend que les hormones bioidentiques (Estrogel et Prometrium) ont comme rôle de continuer à maintenir notre bien-être et notre santé lorsque l’on souffre d’une insuffisance ovarienne (SPM) ou lorsque l’on est en pré, péri ou ménopause.
Je suis d’accord avec vous concernant les femmes qui n’ont pas de problème avec ce genre de traitement. Toutefois, il ne faut jamais oublier qu’une solution n’est jamais bonne pour tous. La gynécologue, Dr Sylvie Demers, dont je recommande les livres (Hormones au Féminin) favorise la prise d’hormones bio-identiques chez les femmes ménopausées.
favorise la prise d’hormones bio-identiques chez les femmes ménopausées.
Ma médecin refuse de me prescrire des hormones bio identiques car selon elle et après consensus avec la gynécologue de la clinique , ils disent que oui si j’avais commencé à ma ménopause mais pas dix ans plus tard .
Qu’en pensez-vous ?
Merci Mme. Lagacé pour votre courage et votre générosité .
Effectivement, il y a une certaine crainte à commencer la prise d’hormones sexuelles de nombreuses années après la ménopause. Le médecin doit évaluer avec la patiente la gravité des symptômes que ressent cette dernière, je pense qu’il faut y aller cas par cas.
Ma question s’adresse à Maude concernant son commentaire du 15 décembre dernier… Quelle est cette fameuse crème ? J’ai 62 ans. J’ai déjà essayé il y a environ 4 ans les crèmes bio-identiques à la progestérone et à l’estriol achetées sur le site de la boutique anti-âge mais le dosage doit être très précis et le résultat n’est pas évident. Par contre je n’ai pas essayé la crème de progestérone bio-identique et phytoestrogenes. Je prend depuis un peu plus de 2 ans oralement des gélules de progestérone bio-identique et des comprimés vaginaux d’oestradiol. J’ai de gros problèmes d’inflammation articulaire (arthrite). Je suis le régime hypotoxique depuis 4 mois et je vois une différence au niveau de la rhinite. J’aimerais bien trouver une solution de rechange efficace et plus sécuritaire pour cesser la prise orale de progestérone qui peut fatiguer le foie et d’oestradiol qui n’est pas bio-identique. Alors qu’elle est cette fameuse crème ?… merci.
Suzie
Espérons que Maude vous réponde.
Je me demande aussi pour quelle raison cette dame a arrêté de prendre ces hormones. Avez-vous expérimenté des effets secondaires, ou est-ce simplement un essai pour voir si le corps pourrait s’équilibrer par lui-même?
Je viens de commencer les hormones bioidentiques… après recherches et lecture du livre du Dr Demers, je suis donc très intéressée par l’expérience des autres avec ça. J’ai un problème d’arthrose, scoliose, ostéoporose, et j’ai subi quelques fractures ces dernières années. j’espère pouvoir augmenter la densité osseuse avec ça. Je prends ni produits laitiers ni gluten depuis plusieurs années, très peu de sucre également, et il est naturel. J’applique la diète hypotoxique du mieux que je peux, mais j’ai eu encore dernièrement une semaine de douleur intense au dos. Je ne sais plus quoi viser côté alimentaire pour améliorer les choses, j’espère y arriver avec les hormones bioidentiques.
Je pense que les hormones bio-identiques sont un apport très intéressant pour la santé des femmes, cela dépend cependant des particularités propres à chacune, et ne constituent pas un traitement miracle. Pour résoudre vos problèmes de douleur intense au dos, je vous recommanderais de chercher à identifier le ou les aliments auxquels vous pourriez être intolérantes en plus de ceux que vous avez déjà éliminés. Personnellement, je pense qu’un excellent thérapeute spécialisé en kinésiologie appliquée aurait de bonnes chances de vous aider. Sur ce blogue (page d’accueil), il y a des noms suggérés.
Si je puis me permettre, Santédesfemmes.com possède une mine de renseignements concernant les hormones. C’est le site par excellence. .Allez-y en toute confiance…
Le cas de Lise est semblable au mien. J’ai perdu un ovaire au début de la cinquantaine. La ménopause est survenue de façon fulgurante. J’ai pris des hormones bio-identiques pendant plus de 7 ans. J’ai décidé l’arrêt des hormones près de la soixantaine. Je me suis dit qu’il faut qu’un jour le corps reprenne un nouvel équilibre. Sur une période d’un an, la douleur au bras et à l’épaule droite s’est développée. Je croyais possiblement la cause le travail de bureau, le tunnel carpien. Après l’examen en neurologie, j.ai passé une résonance magnétique des membres supérieurs. Le diagnostic : arthrose sévère, la médecine ne peut rien faire…
J’ai découvert les travaux de Mme Lagacé et j’ai retrouvé de l’espoir. Il faut être strict les premières semaines. Je fais le régime sans gluten et sans produits laitiers en particulier les substances laitières modifiées depuis plus de 4 ans. Je ne prends aucune médication sauf de l’Advil au besoin.
Je sais que l’arthrose sévère se retrouve davantage chez les femmes après la ménopause. Quels sont les liens avec les hormones ??
Si cela peut apporter un éclairage ..
Martine
Les deux résumés des articles suivants apportent un éclairage intéressant sur la prise d’hormone en relation avec l’Alzheimer. Pour ceux et celles qui ne lisent pas l’anglais, l’utilisation du traducteur de Google devrait vous permettre de saisir l’essentiel.
Psychoneuroendocrinology. 2013 Dec;38(12):2973-82. doi: 10.1016/j.psyneuen.2013.08.005. Epub 2013 Sep 1.
Cumulative estrogen exposure, number of menstrual cycles, and Alzheimer’s risk in a cohort of British women.
Fox M1, Berzuini C, Knapp LA.
Author information
Abstract
The effect of estrogen on Alzheimer’s Disease (AD) risk has received substantial research and media attention, especially in terms of hormone replacement therapy. But reproductive history is also an important modifier of estrogenic exposure, and deserves further investigation. Importantly, there is wide variation in reproductive patterns that modifies estrogen exposure during the reproductive span, which previous AD studies have not incorporated into their calculations. We measured degree of Alzheimer’s-type dementia in a cohort of elderly British women, and collected detailed reproductive and medical history information, which we used to estimate number of months with estrogen exposure and number of months with menstrual cycles. Using Cox proportional-hazards models, we find that longer duration of estrogen exposure may have a protective effect against AD risk, such that for every additional month with estrogen, women experienced on average a 0.5% decrease in AD risk (N=89, p=0.02). More menstrual cycles may also have a protective effect against AD risk, although this result was of borderline statistical significance (p21 at first birth, and more months in lifetime spent pregnant had protective effects against AD risk.
J Steroid Biochem Mol Biol. 2014 Jul;142:99-106. doi: 10.1016/j.jsbmb.2013.05.010. Epub 2013 May 28.
Alzheimer’s disease: review of hormone therapy trials and implications for treatment and prevention after menopause.
Henderson VW1.
Author information
Abstract
Hormonal changes associated with the menopausal transition and postmenopause have the potential to influence processes linked to Alzheimer’s disease symptoms and pathogenesis, but effects of menopause on Alzheimer risk can be addressed only indirectly. Nine randomized clinical trials of estrogen-containing hormone therapy in Alzheimer’s disease patients were identified by a systematic literature search. Findings suggest that hormone therapy does not improve cognitive symptoms of women with Alzheimer’s disease. No clinical trials of hormone therapy address Alzheimer prevention, but one clinical trial provides moderate evidence that continuous, combined estrogen plus progestogen initiated at age 65 years or older increases the risk of dementia. The timing, or critical window, hypothesis suggests that hormone therapy initiated at a younger age in closer temporal proximity to menopause may reduce the risk of Alzheimer’s disease. This hypothesis is supported by observational research but is not addressed by clinical trial data. Unrecognized confounding is of concern in interpreting observational results, and research that helps resolve this issue will have important public health implications. Well-designed cohort studies, convergent evidence from appropriate laboratory models, and long-term clinical trials using surrogate biomarkers of brain function and neural pathology could provide relevant answers. Other estrogenic compounds are of theoretical interest with respect to Alzheimer treatment and risk. Effects of selective estrogen receptor modulators such as raloxifene may differ from those of estrogens; potential effects of phytoestrogens are not well studied. This article is part of a Special Issue entitled ‘Menopause’.
Bonjour, je prenais les hormones bio-identiques depuis environ 7 ans. Ma docteur m’a arrêté me disant qu’ils avaient découvert que passé 5 ans il y a un risque d’alzheimer et comme j’ai un gros passé familial c’est plus prudent de stopper les hormones. Mon corps c’est mis à vieillir rapidement et beaucoup d’arthrose, j’étais sujette à cela.
De façon générale, il est admis à partir des expériences sur les animaux et à partir d’études cliniques que l’estradiol-17β a un effet neuroprotecteur même si le mécanisme moléculaire de cette action n’est pas encore bien compris. Toutefois, les effets neuroprotecteurs dépendent de l’âge, du type de ménopause et du stage de la ménopause au moment où cette hormone commence à être administrée. Il semble qu’initier un traitement d’estrogène et de progestérone à partir de 65 ans et plus pourrait augmenter le risque de démence (ces études ont été effectuées avec des hormones qui n’étaient pas bioidentiques). Jusqu’à maintenant, à ma connaissance, il ne semble pas que les traitements hormonaux de substitution initiés dès la ménopause et qui ont été administrés sur une longue période n’ait favorisé le développement d’Alzheimer.
L’estrogène bio-identique par voie cutanée (timbre et gel d’estradiol-17β) ne présente pas ce problème, selon la Dre Demers. Au contraire, il a des propriétés anti-inflammatoires et améliore le bilan lipidique. « Il a également des propriétés bénéfiques pour le cerveau : augmentation de la circulation sanguine, stimulation de la croissance des neurones et augmentation du nombre de connexions nerveuses, par exemple », précise-t-elle.
J’ai seulement une question à formuler par écrit. En fait, je me demande ce qui a pu amener la dame en question à délaisser la crème bio-identique? Je n’en doute pas, il y a sûrement un bonne raison derrière cette décision. Pour ma part, cette crème a définitivement amélioré ma vie. Et que dire du médecin? Ce n’est pas lui qui a pu m’aider. J’ai cherché alors de l’aide sur mon ordi (car j’étais en larmes) et je l’ai trouvée. Depuis 7 ans maintenant, je ne peux imaginer vivre sans cette crème. Et l’alimentation dans tout ça? c’est primordial. Bravo pour votre site sur l’alimentation hypotoxique.
Merci pour ces précisions éclairantes.
Bonjour Mme Lagacée, est-ce mieux de ne jamais arrêter les hormones bio-identiques ? Merci
Juste lire les réponses que j’ai apportées à cette question aujourd’hui.
Merci d.avoir posé la question j’ai les même problème?,,,,
Les réponses précédentes d’aujourd’hui devraient vous aider.
Dr Sylvie Demers a une documentation impressionnante dans son livre Hormones au féminin. La question est pourquoi vous avez arrêté vos hormones ????
Bonjour, je me demande meme, apres un arrêt de dix huit ans, est-il possible de reprendre des hormones, puisqu’il y a aussi la peau qui plisse, la perte de cheveux et les douleurs qui apparaissent? Merci.
Bonjour, Je ne suis pas une spécialiste de ce domaine. Toutefois, la gynécologue Dre Sylvie Demers a écrit un très bon livre intitulé « Les hormones au féminin » dans lequel elle discute en profondeur des hormones bio-identiques. Selon cette dernière, à moins d’une contre-indication, elle conseille les hormones bio-identique aux femmes ménopausées et cela sans limite de temps. Comme en toute chose, il faut tenir compte des particularités individuelles.