Essayez 1 mois sans gluten et remettez le gluten un autre mois. C’est comme ça que j’ai compris que le gluten était la cause de mes problèmes. Nathalie.
Archives d’Auteur: Jacqueline
Nathalie donne ce conseil à Lynda pour l’aider à trouver la cause de ses problèmes de santé
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Une jeune femme de 25 ans, atteinte de neuropathie me demande conseil pour faire cesser cette douleur.
Bonjour Jacqueline!
Je souffre depuis peu d’une sensation de brûlure sur la peau. Bref, cette sensation c’est comme d’avoir un coup de soleil sur les bras, le dos , le visage … ça semble être une douleur neuropathique et je ne veux pas du tout vivre avec cette douleur à 25 ans … quoi faire ? Merci
Réponse de Jacqueline :
Bonjour Adjani,
Le traitement médical des douleurs neuropathiques n’est pas facile. Toutefois, il y a très souvent un lien entre ces douleurs et une sensibilité à certains aliments. Je vous conseille donc de vous procurer mon livre (librairie ou bibliothèque municipale) intitulé : Une alimentation ciblée pour préserver ou retrouver la santé de l’intestin et de suivre les règles de la diète hypotoxique; il s’agit ici de prêter une attention particulière au chapitre 1, p. 18 à 26. Vous y trouverez des conseils qui devraient vous permettre de résoudre votre problème de neuropathie. Bonne chance et bon courage!
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Betty : douleurs dues au pseudo polyarthrite rhizomélique, forte atténuation par kiné et régime hypotoxique
bonjour, j’ai fait ce regime hypotoxique sans le savoir, mon mari devait se faire opérer de la vesicule biliaire et avant de passer à la casserole son chir. lui a demandé de faire un regime (tout pilepoil au votre). J’avais une pseudo polyarthrite rhizomélique très douloureuse, soignée depuis 18 mois avec de bonnes doses de cortisone. Avant de passer sous methotréxate on a fait une pause cortisone et paf! les douleurs sont revenues. En tentant de me soulager, j’ai consulté un kiné qui utilise la methode Mézière et qui, dans la discussion m’a donné les coordonnées de Jacqueline Lagace. En lisant ses articles et vos recommandations, je me suis rendue compte que si mes douleurs étaient hyper grandement atténuées, ce n’était pas seulement à mettre au bénéfice de mon kiné mais aussi et surtout à votre regime. Donc merci merci pour vos conseils oh combien bénéfiques. bien amicalement betty
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Le produit Immunocal recommandé par Maria
En réponse à Marie-Soleil Lessard.
Bonjour,
Je me permets de donner mon avis sur ce produit, j’ai 55 ans et atteinte de la maladie auto-immune d’anémie de Byrmer, avec par conséquence des douleurs violentes aux muscles et diabète de type 2 depuis 2 ans et pour mon manque de B12 donc des injections de B12 à raison de 5 à8 minimum par mois, après avoir essayé plein de traitement allopathique et naturel, étant moi même aromathérapeute et de plus allergique au lactose et gluten, j’ai pu constaté en 4 mois de prise d’immunocal un changement radical, j’ai tout cessé les autres traitements, en 6 semaines plus que 1 seule injection de B12 j’ai augmenté pendant 3 semaines la prise de cette poudre mélangée à froid et depuis 3 mois plus de douleurs, plus de B12, je revis, mon diabète vient de descendre à la « normal », depuis un mois je remange normalement même sans plus me préoccuper de lactose ou gluten même si après des années sans je ne suis pas attirée par ce type d’aliment,et je préfère continuer à éviter le lactose et le gluten. J’ai de plus cessé le caf sans même m’en rendre compte grâce à leur « booster » qui contient de la caféine naturelle, ma peau n’a jamais été aussi hydratée, mes cheveux que je perdais beaucoup aussi c’est finis, aujourd’hui je continu a prendre un sachet par jour pour garder selon ma naturopathe un système immunitaire bien protégé, j’ai pu reprendre le sport, depuis ma famille et certains amis en prennent et avec à chaque fois de vraies amélioration sur diverses pathologies toutes à des rythmes différents mais je suis stupéfaite des bien faits de ce produit qui en plus a de nombreuses certifications à l’appui j’avais lu le chapitre 42 du livre de M. Montagnier du stress Oxydatif avant de faire confiance à ce produit, car je ne crois pas au miracle.
Voici pour ma courte expérience, si cela peut vous servir, Maria
Remarque de Jacqueline: Pour ceux intéressés à en connaître davantage sur le supplément Immunocal, cliquer sur ce lien internet: http://www.sante-immunite.com/pdf/Description%20Immunocal.pdf
Merci Maria pour votre témoignage vraiment intéressant et surprenant. De nombreux articles scientifiques font l’éloge de ce supplément en raison entre autres du glutathion, un antioxydant très puissant
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Un voyage complexe et difficile pour vaincre la polyarthrite rhumatoïde
Bonjour à tous, merci pour vos témoignages, pour ma part ça fait 2 ans environ que les 1er symptômes de la PR se sont fait ressentir, principalement la mâchoire, l’épaule droite le poignet gauche, les mains et les pieds à ne plus pouvoir marcher, j’ai de ce fait refuser les traitements qui m’ont été proposés ayant plus confiance en moi et en l’alimentation plutôt qu’au chimique, de par mes connaissances en naturopathie, je pratique depuis 10 ans le jeûne, et mange très peu de viande mais beaucoup de gluten et produits laitier encore jusqu’à cette nouvelle terrassante car j’ai tout découvert de cette maladie personnes dans mon entourage la connaissait, depuis j’ai été radicale j’ai commencé par le cru uniquement pendant 8 mois fruits et légumes, je me suis nettoyée littéralement avec des crises de detox puissante, ensuite j’ai ouïe dire que je pouvais vite perdre de ma vitalité et de plus les résultats n’étaient pas la, j’ai fouillée sur internet et je suis tombée sur le régime Seignalet, j’ai acheté le livre et me suis lancé avec la cuisine vapeur, et ça fait 1 an maintenant que j’ai le Vitaliseur Marion, « formidable » , et que je le suis à la lettre et avec une grande détermination, et aujourd’hui j’ai retrouvé une vie normale, au bout de 6 mois déjà, j’ai ressenti un tout petit mieux, bon je boitille un peu le matin mais se sont réellement les dernières douleurs que j’ai, tout à disparu, oui ma mâchoire, moi qui n’arrivait plus à mâcher mes aliments, mon bras arqué est redevenu droit, mes doigts je les plis sans douleurs des le matin avant même de me lever, et sont drôlement affinés, depuis plusieurs mois j’ai retrouvée de la force une énorme vitalité, je suis une hyperactive en somme, j’adore, je me projette de nouveau, j’ouvre de nouveau les bouteilles, ouvre les volets roulant, soulève le matelas quoi dire, j’ai vu mon mari m’habiller certain matin à 42 ans alors que je n’y arrivait pas car pas la force, épuisée, trop mal, ça me brûlait même, trop gonflés, trop inflammés, et je pensai que mes doigts étaient cassés tellement je souffrais, aujourd’hui, je revis, je reprend peu à peu une activité professionnelle pas à temps plein biensur car le matin je reste méfiante. Mon seul objectif et je sens que ce n’est plus très loin, c’est endormir tout ça une bonne fois. Pour ma part j’ai éliminé les agrumes, les noix, de cajou, pecan…. en tout genre, le gluten partout et en tout, les produits laitiers il y en a plus ici, les Yaourts sont végétales, soit lait de coco ou lait de riz, le pain est fait maison au Vitaliseur légèrement toasté ou acheté en commerce, viande blanche et poissons, œufs, c’est OK pour moi, j’ai fait mes repères et je vous assure que les gens sont surpris de découvrir cette cuisine et toutes les saveurs qui vont avec, mari et enfants adorent, et je mélange le cru avec le cuit car j’aime bien, beaucoup de fruits en dehors des repas, et toujours des huiles accompagnant mes plats colza et olive je ne peux m’écarter, d’autres huiles m’ont fait du mal, style huile de noix…. je ne supporte pas le cassis non plu, il faut tester au départ j’avoue qu’on ne sait pas trop ce qui nous donne des poussées et au fil du temps on a des repères. J’ai pris beaucoup de compléments alimentaires qui m’ont bien aidé aussi. Je supporte parfaitement un bon mousseux pour trinquer lors d’une soirée. Alors pour tout ça et ce que je vis Marion un grand merci et aussi pour ce bel instrument qui est dans ma cuisine et tous les bienfaits qui vont avec. Ça prouve que rien est impossible, le chemin de la rémission est devant nous, que dieu vous bénisse tous abondamment.
Courage et espoir !
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Un témoignage de Françoise qui a du éliminer plusieurs autres aliments
Bonjour je suis atteinte de polyarthrite rhumatoïde et en a découlé la sécheresse aux yeux qui m’a déclenché une kératoconjonctivite. Pour la polyarthrite je souffrais énormément, j’ai fait le régime hypotoxique, j’ai supprimé bien plus de choses car j’ai remarqué que les noix les noisettes les noix de cajou, le céleri, la moutarde me déclenchait des douleurs. Depuis ça va nettement mieux. Plus de gluten plus de lait de vache j’arrive à manger du fromage de chèvre s’il vient vraiment d’un producteur pas d’une grande surface. J’ai refusé tous les traitements après avoir pris du Méthotrexate pendant sept mois.
Courage à toutes et tous notre santé et dans notre assiette.
Bonjour Françoise,
Il est courant qu’un certain pourcentage des personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde développent également la maladie de Gougerot-Sjögren. Il faut être très vigilant pour conserver une bonne hydratation des yeux à l’aide de gouttes oculaires les plus basiques possible. La consommation même de très petites quantités de sucre peut avoir des effets très irritants. J’ai traité en détail de ce problème dans mon dernier livre » Une alimentation ciblée… »
Merci pour votre témoignage qui est intéressant à plusieurs points de vues
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Dr Marie-eve Labrie, chiropraticienne offre une formation de santé globale
Les inscriptions sont ouvertes à partir d’aujourd’hui pour 1 semaine. La formation débute officiellement samedi le 2 avril 2022. Vous trouverez une information complète à partir du lien suivant :
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Réponse à Normand qui se pose des questions à propos de la pertinence du vaccin actuel
La question de Normand:
Bonjour Jacqueline, il y a un an (janvier 2021), une Suzie vous demandait votre opinion sur les Vaccins à Arn messager… Vous lui aviez répondu, entre autre :
« Nous avons la chance de disposer de deux excellents vaccins à ARNm qui sont très efficaces et qui devraient permettre de mettre un terme à la pandémie d’ici quelques mois lorsque la grande majorité des gens auront été vaccinés. »
Avec notre taux de vaccination exceptionnel et la situation qui perdure, est-ce que votre opinion a évolué depuis et quoi penser de l’incapacité des vaccins à Arn à avoir mis fin à la circulation et aux contaminations.
Est-il temps de reconsidérer l’approche Chinoise qui consistait en un Vaccin à virus complet inactivé (je crois que la française Valneva travaillerait sur un tel vaccin).
As-t-on choisi le mauvais cheval et à quoi ça rime d’insister pour que les non-vaccinés aillent se chercher une première dose d’un vaccin qui est maintenant connu pour perdre rapidement son efficacité et qui a été concu pour la souche originale qui n’est plus en circulation ???
La réponse de Jacqueline:
Bonjour Normand,
Je n’ai pas changé d’avis au sujet des immenses qualités et de l’avancement exceptionnel que représentent les vaccins à ARN messager. Les études actuelles ont démontré que la méthode traditionnelle de fabrication des vaccins à partir de virus complets inactivés donne des résultats nettement inférieurs à ceux des vaccins à ARN messager. Non seulement les taux d’efficacité contre la COVID-19 se sont avérés supérieurs, mais la technologie des vaccins à ARN comporte de multiples autres avantages dont entre autres la souplesse quant aux antigènes possibles que l’on peut tester rapidement et la rapidité de production des vaccins.
Toutefois, il est vrai que nous sommes déçus de constater que malgré notre taux de vaccination très élevé, le virus continue à circuler et que même les personnes vaccinées peuvent malgré tout être infectées. Il est important toutefois de préciser que dans la très grande majorité des cas, le vaccin permet d’éviter les conséquences les plus néfastes de ce type d’infection virale. De plus, des études récentes, par exemple l’étude effectuée dernièrement chez le personnel soignant des hôpitaux au Québec (étude publiée dans LE DEVOIR), révèle que les soignants, qui ont été contaminés par le virus avant d’avoir pu bénéficier du vaccin (non disponible à ce moment) présentent un taux très élevé de cas de Covid longue. Jusqu’à maintenant, il semble bien que le développement de la COVID longue se manifeste de préférence chez les personnes qui n’étaient pas vaccinées au moment de l’infection. Cela naturellement devra être confirmé par des études plus approfondies
Vous demandez : pourquoi on nous recommande maintenant d’aller chercher une ou des doses d’un vaccin fabriqué à partir de la souche originale qui n’est plus en circulation?
Pour répondre à votre question, il est important de remettre la fabrication du vaccin à ARMm dans son contexte, soit de tenir compte du fonctionnement de notre système immunitaire qui comporte encore beaucoup d’inconnu ainsi que des connaissances limitées que nous avions du SARS-CoV-2 au début de la pandémie. Au départ, il faut reconnaître que le système immunitaire est extrêmement complexe même si depuis une vingtaine d’années la science a fait des progrès remarquables dans ce domaine. Malgré tous ces progrès, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour comprendre parfaitement l’ensemble des subtilités de fonctionnement de nos systèmes de défense inné et adaptatif qui ont la lourde tâche de discriminer à la perfection le soi du non-soi et ceci dans des environnements complexes (entre autres dans notre organisme) où s’entrecroisent de multiples molécules antigéniques découlant de la grande diversité génétique et épigénétique que l’on retrouve dans le monde vivant. Vous conviendrez que de travailler (souvent à l’aveugle) dans ce contexte pour produire des vaccins contre des agents pathogènes est loin d’être aisé. C’est pourquoi le fait d’avoir réussi à fabriquer des vaccins efficaces et sécuritaires à l’intérieur d’une année contre un virus que l’on connaissait mal et ceci grâce à la collaboration exceptionnelle de scientifiques ainsi qu’à leur travail acharné dans l’urgence et cela malgré la forte la compétition habituelle qui existe entre les chercheurs est à mon humble avis un véritable exploit.
En second lieu, il faut souligner que l’on connaissait peu les Coronavirus car pendant longtemps, les scientifiques considéraient que ces virus étaient des agents pathogènes sans conséquence qui provoquaient un « rhume » chez des personnes par ailleurs en bonne santé. Conséquemment, la recherche dans ce domaine était limitée. Donc, lorsque l’épidémie causée par un coronavirus que l’on a nommé depuis virus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-1) s’est produite en 2002-2003, il s’agissait de la première maladie grave et facilement transmissible à apparaître au 21e siècle ; il va s’en dire que cette épidémie a soulevé de l’inquiétude dans la Communauté scientifique. À ce moment, Hong Kong était la région la plus durement touchée par ce Coronavirus. Cette infection fut à l’origine de la propagation de cette maladie dans de nombreux autres pays dont une éclosion à Toronto. On a suggéré alors que des facteurs environnementaux pouvaient avoir joué un rôle dans la propagation du virus. Dans un article publié en 2004, les auteurs concluaient que nous avions eu de la chance cette fois-ci, mais que nous ne le serions peut-être pas lors de la prochaine épidémie d’un nouvel agent étiologique.
Dix-sept ans plus tard, depuis le rapport du premier cas d’infection de COVID-19 (SARS-Cov-2) à Wuhan en Chine à la fin de 2019, nous vivons dans un monde différent. Heureusement, très rapidement, la Communauté scientifique, à la fois académique et industrielle, a fourni des efforts concertés pour développer des vaccins sécures et efficaces afin de protéger les populations du globe contre un virus potentiellement mortel et très contagieux. En date du 25 novembre 2021, de nombreuses collaborations ont permis de travailler sur 150 candidats vaccins et 515 essais cliniques. Ces 150 candidats vaccins reposent sur différentes technologies : vaccins traditionnels basés sur des virus inactivés, sur des protéines du virus, sur des protéines recombinantes du virus, sur des vaccins à ADN livrés dans un vecteur viral inoffensif, sur des vaccins à ARN messager livrés dans des liposomes et tout récemment sur des vaccins à particules pseudovirales produites sur plantes.
Même si cela a pris un temps très court par rapport aux méthodes traditionnelles pour développer les premiers vaccins à ARN-messager, rien n’a été négligé en termes de sécurité. Les raisons qui ont permis ces avancées incroyablement rapides sont dues aux faits suivants : 1) depuis plus de 30 ans, des scientifiques se sont appliqués (malgré la grande fragilité de l’ARNm) à tenter de développer une thérapie génique basée sur l’ARNm pendant qu’une majorité des chercheurs dans ce domaine travaillaient à partir de l’ADN. Il faut reconnaître ici le travail intuitif et acharné de la chercheuse Katalin Kariko qui dès 1990 avait soumis une demande de subvention dans laquelle elle proposait d’établir une thérapie génique basée sur l’ARNm. Au cours des années qui ont suivi, de nombreux travaux sur la thérapie génique basée sur l’ARNm se sont poursuivis. À partir de la même époque, parallèlement et de façon indépendante, des équipes de chercheurs travaillaient sur le développement de liposomes aptes à protéger des molécules organiques et à permettre leur introduction dans des cellules vivantes. Une revue de question (Review) publiée en février 2022 dans la revue Pharmaceutics sous le titre Lipid Nanoparticle Delivery Systems to Enable mRNA-Based Therapeutics relate le chemin parcouru pendant ces trois décennies, lesquels travaux ont permis, lorsque la pandémie de COVID-19 s’est déclarée, d’assembler ces différents pièces du casse-tête pour fabriquer dans l’urgence deux vaccins à ARNm qui se sont avérés très efficaces et ceci dans un temps record.
Pourquoi une troisième dose contre le variant omicron s’avère-t-elle encore efficace à environ 70% malgré les nombreuses mutations que ce virus a subi par rapport à la souche originale de SARS-CoV-2 qui a servi à la fabrication des vaccins à ARNm?
Les recherches actuelles sur la COVID-19 ont permis des avancées et une meilleure compréhension de notre système immunitaire concernant l’influence des immunisations successives d’un même antigène sur le système immunitaire; ainsi on a pu démontrer que les lymphocytes T, à mesure qu’elles sont sollicitées par des immunisations successives avec un même antigène, subissent des mutations qui résultent dans une sélection serrée des cellules T mémoires qui deviennent de plus en plus efficaces contre l’agent infectieux parce que ces cellules présenteraient un spectre à la fois plus large et plus efficace de leurs réponses contre le virus. Dans ce sens, j’ai lu dernièrement qu’on avait testé un vaccin expérimental à partir de la souche Omicron mais que ce vaccin ne s’était pas montré plus efficace contre la souche Omicron que la troisième dose du vaccin initial.
Pour terminer, voici les raisons qui expliquent pourquoi les essais cliniques avec les vaccins à ARNm ont pu être réalisés dans un temps record, sans négliger aucunement leur qualité et leur sécurité : 1) vue l’urgence de la situation, les compagnies disposaient de sommes d’argents pratiquement illimités venant entre autres des gouvernements et l’appui de ces derniers pour permettre de diminuer de façon drastique les délais habituels pour obtenir le droit de débuter les essais cliniques des vaccins; 2) les compagnies pharmaceutiques, d’après ce qui a été affirmé lors d’une émission sur les vaccins à Découverte de Radio-Canada, ont effectué parallèlement les essais cliniques de niveau I, II et III, ce qui a sauvé énormément de temps, sans que soit diminué la qualité et la sécurité des vaccins
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Mes vœux pour 2022 + un nouveau livre en préparation.
Mes meilleurs vœux les plus sincères pour la nouvelle année 2022 à tous mes lecteurs dont l’intérêt soutenu pour mon blogue m’incite à persister dans mon travail d’information afin de soutenir vos efforts vers l’atteinte d’une santé globale. Je souhaite donc à chacun et à chacune d’entre vous la santé, la paix et le maintien d’un bon équilibre psychologique malgré la période éprouvante que nous traversons actuellement.
Les caractéristiques actuelles du variant Omicron, soit son taux exceptionnel de contagiosité et sa virulence affaibli, associés aux taux élevés de vaccination, me donnent l’espoir que la présente pandémie devrait enfin s’essouffler dans un avenir pas trop lointain. Cet espoir s’appuie également sur des études du SARS-CoV-2 qui montrent que ce virus ne présente pas de possibilités infinies de développer des variants susceptibles de s’attacher aux récepteurs de nos cellules qui lui servent de porte d’entrée pour nous infecter.
Tous ces éléments mis ensemble devraient permettre d’atteindre le fameux niveau d’immunité collective apte à limiter de façon drastique le nombre de victimes potentielles susceptibles de permettre au virus SARS-CoV-2 de se reproduire, d’où la possibilité de le voir disparaître.
Finalement, je veux vous informer que je travaille depuis plusieurs mois sur un dernier livre qui me tient particulièrement à cœur. Rédiger ce dernier ouvrage m’a semblé incontournable car son but est de pérenniser vos nombreux témoignages les plus significatifs qui racontent vos cheminements et les succès que vous avez obtenus, sans oublier les difficultés rencontrées, en adoptant une alimentation anti-inflammatoire pour traiter vos maladies inflammatoires chroniques. Pour moi, il s’agit d’un devoir de transmission pour que les efforts que vous avez faits en témoignant laissent des traces qui servent encore longtemps…
La seconde partie de mon dernier livre a pour but de vous informer des résultats des derniers travaux de recherche qui ne laissent plus aucun doute de la pertinence d’adopter une alimentation ciblée anti-inflammatoire qui tienne compte de vos caractéristiques génétiques propres afin de prévenir et de traiter à long terme les maladies inflammatoires chroniques.
Jacqueline Lagacé, Ph.D.
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Une diète vegan personnalisée, fin des douleurs, cystite interstitielle et spondylarthrite ankylosanre
En réponse à Coin champ.
Bonjour,
Retraité, 79ans, j’ai eu il y a trois ans une cystite interstitielle que j’ ai totalement vaincu par une alimentation maitrisée. D’abord je dirais que c’est une maladie extrêmement douloureuse, bien plus que des calculs dans un uretère! et ces douleurs -très violentes- sont démoralisantes car elles apparaissent a chaque envie d’uriner et – chez moi – disparaissaient après un quart d’heure de façon très brusque ce qui montrait qu’elles n’avaient pas de cause organique. L’élément qui m’a mis sur la voie de la guérison est que j’ai guéri une spondylarthrite ankylosante par un mode d’alimentation vegan, il y a ~15/20 ans.
Voici le régime que je suis actuellement : je ne mange que des fruits crus et murs autant que possible, des légumes sauf tomates et poivrons, des légumineuses sauf lentilles corail. Assaisonnements: herbes (persil, ciboulette, coriandre, etc..), huile de noix, d’olive et colza, jus de citron et purées de cajou, sésame, amandes, noisettes, lait de coco. Conserves de légumes respectant la composition: légume(s), eau, sel ainsi que légumes surgelés non modifiés.
Sont interdits: tous produits d’origine animale (viandes, poissons, laitages, fruits de mer, miel), céréales (y compris riz), tous produits fermentés (tous alcools, levures, vinaigre remplacé par du jus de citron), toutes épices, sucre, café, thé, conserves et plats préparés industriels transformés. Tous produits non bio, mais ceci n’est pas possible si vous n’avez pas un Biocoop à proximité.
Résultat de ce mode d’alimentation: plus aucune douleur ni désagrément tel que fuites urinaires, envies pressantes, etc.. et une santé parfaite.
Je suis convaincu que ce mode d’alimentation guérira une grande majorité des maladies chroniques et de certaines maladies « orphelines » pas du tout traitées par la médecine, si c’est votre cas essayez-le pendant un mois et de manière stricte, le seul risque que vous prendrez, c’est de guérir et ensuite rien ne vous empêche de réintroduire un aliment a la fois quitte à le retirer si l’expérience se révèle négative. Bien sur, les bien-portants me considèrent comme un cinglé mais je suis convaincu qu’ils changeraient vite d’avis si ils avaient une maladie bien douloureuse dont le souvenir et la meilleure motivation pour continuer à le suivre….
Bon courage.
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